La campagne des élections municipales est à peine démarrée que les rumeurs et les petites attaques commencent dès maintenant à se propager. Cette situation ne présage rien de bon pour les semaines à venir.
Nous avions déjà regretté qu'en 2001, la campagne de la municipalité actuelle contre la liste conduite par Christophe Jammot n'ait tourné uniquement autours de son arrivée tardive à Villepreux et non des compétences du candidat. Cette manipulation bien connue permet, en déportant les débats sur un sujet polémique, de ne pas devoir présenter son bilan et expliquer ses résultats devant la population.
Les choses semblent se reproduire aujourd'hui puisque nous venons d'apprendre que des bruits visant à affaiblir notre action se propagent doucement. Nous ne relaierons pas l'ensemble de ces rumeurs et de ces petites attaques mais deux d'entre elles nous ont interpellés. Nous souhaitons donc apporter quelques éclaircissements et précisions.
Premièrement, il parait que je ne conduirai pas la liste d'opposition en raison de mon départ de Villepreux ! Cette information est une pure invention et ne s'appuie sur aucun fait. Fidèle à Villepreux, je mènerai, je vous l'assure, ce projet jusqu'à la victoire et je serai présent avec les autres membres de la liste en mars 2008. Cette liste sera une liste d'opposition, opposition intelligente et constructive, ne souhaitant ni le blocage de la commune, ni la polémique purement gratuite.
Deuxièmement, certains déclarent avoir dajà reçu l'investiture de l'UMP ! En tant que représentant de ce parti pour Villepreux, je déments catégoriquement cette tentative de déstabilisation. L'investiture ne sera donnée que dans quelques semaines et elle ne sera donnée qu'à une liste d'ouverture, capable de l'emporter. Elle sera donnée à notre liste, seule pouvant arriver en tête.
Il est dommage que la campagne démarre dans ce climat. Nous refuserons toujours d'aller dans la voie de la rumeur. Une campagne se doit d'être digne, bâtie uniquement autours des idées et des projets.
La campagne de Nicolas Sarkozy l'a démontré. Les français ne souhaitent plus de politique politicienne. Ils souhaitent juger les listes et les personnes sur leurs idées, leur volonté d'agir, leur vision du futur.
Nous espérons sincèrement, pour la démocratie, que l'ensemble des forces en présence ait cet objectif commun.